Parce que Môsieur Sherlock est un explorateur dans l’âme et qu’il a trouvé des endroits où passer sous le grillage, on a donc entièrement rallonger / rigidifier le pourtour initial.
On avait un vrai portail en porte-à-faux. Partiellement parce que son poteau était rongé à la base par les insectes et l’humidité, et partiellement parce qu’un gros cul de cheval que la décence m’interdit de nommer a décidé de prendre CE poteau comme grattoir !
Cherchez pas, on a plus de 350 poteaux sur le domaine, dont un poteau EDF en béton que nous avons équipé d’un immense tapis de caoutchouc à pointes… mais nooon… c’est le poteau malade qui bouge qui est le plus amusant pour se gratter !
Bref, il était temps de le changer…
Quand je dis « poteau », comprenez traverse de chemin de fer… oui… ici les poteaux sont des traverses de chemin de fer.
C’est rustique, c’est costaud
Enfin costaud… quand ce n’est pas pourri et malmené par des bourrins de 600 kg…
C’est surtout enterré à 1m50 de profondeur… la pure galère… Parce qu’il faut bien l’enlever pour en remettre une exactement à la même place…
Nouvelle traverse, bétonnée celle-ci, parce qu’on sait ce qui l’attend…
Dans la continuité de la liberté surveillée des chiens, pose d’un portillon derrière la grange et rallonge de clôture pour pouvoir grillager le tout.
Portillon posé (récup de celui du bûcher, que nous avions démonté, car les bûches ne vont pas s’enfuirent d’elles-mêmes… OK c’est une ancienne soue à cochons, ça faisait sans doute plus de sens en ce temps-là de pouvoir fermer.), deux poteaux scellés, reste à poser les lisses et le grillage (c’est le but !)
Avec l’arrivée prochaine de Sherlock, nous avons décidé de délimiter un espace « restreint » (1 700 m²) de liberté pour les chiens. Fini les pâtures sans surveillance (et le goinfrage de crottins…)
On installe donc du grillage sur les clôtures de type paddock.
On commence simple : remplacement des filets provisoires par du vrai grillage.