Quand tu vis à la campagne, tu es parfois obligé de partir dans les extrêmes…
Arrêtes tranchantes = checked !
Trous pièges à sabots = checked !
Clous qui dépassent = checked !
Bouts de tôle qui dépasse = checked !
Renfort longitudinal = checked !
Pour bien accueillir nos bêtes, nous faisons le tour de l’abris du grand pré afin de le sécuriser.
Déclaration : les images qui suivent peuvent choquer les spectateurs sensibles. La violence des propos et des intentions illustre le risque que prend l’auteur de cet article en décidant de publier cette vidéo.
Si vous croyez que c’est moi qui fais tout… c’est totalement faux. C’est juste que vous ne voyez que ma tronche sur les photos et les vidéos…
Aujourd’hui, je décide de bafouer la règle et de vous montrer l’envers du décor. Jennifer DÉTESTE être prise en photo, encore plus en vidéo, et voilà pourquoi vous ne la voyez quasiment jamais :
Parce que les chevaux, ça boit… BEAUCOUP !
État des lieux des abreuvoirs automatiques, oui, c’est une pension ***** ici !
Si proche de la Bretagne, ça devait arriver un jour ou l’autre, nous allons avoir une invasion celte !
Aujourd’hui… nous avons rencontré « César » (nouveau nom à venir)… et… rien n’est encore signé, car Jennifer doit le monter lundi, mais bon vu le coup de cœur, il devrait bientôt être dans nos prés 😉
C’est un Irish Cob de 12 ans, hongre, 1m50, robe noir pie tobiano, hyper sympa.
Bon, maintenant il faut lui trouver un copain, ça vit en troupeaux ces « petites » bêtes-là.
Le portail étant à 150 m de la maison, sur le côté sans visibilité et avec un vieil interphone qui fonctionne une fois sur deux (et se met à sonner sans raison…), j’ai donc décidé qu’une intervention « modernisation de dinosaure » s’imposait.
Et trois réfugiés politiques sauce piquante ! Trois !
Sans refaire toute la cuisine, on voulait la rafraîchir un peu, parce que la peinture Glycéro écaillée par la chaleur des spots et le choix (douteux ?) d’une base oranger avec des meubles gris et bordeaux… bof.
