Après les combles en mode spéléo, on s’attaque à l’autre côté de la maison (au-dessus de la cuisine). La mission reste la même : tirer du câble réseau !
Mais c’est nettement plus confortable que la première fois.
Travaux et bricolages en tout genre.
Après les combles en mode spéléo, on s’attaque à l’autre côté de la maison (au-dessus de la cuisine). La mission reste la même : tirer du câble réseau !
Mais c’est nettement plus confortable que la première fois.
Un mur à plaquer, deux portes à changer, et deux plafonds à isoler… il y a des moments où il faut savoir faire appel à des pros.
Une journée de boulot à deux gars :
Ha ben c’est sûr, nous… ça nous aurait pris une semaine, et pas pour le même résultat !
Bientôt (la semaine prochaine normalement) nous changeons de portes…
Bois d’origine, certes, mais 1 cm d’épaisseur, zéro isolation phonique, zéro isolation thermique, et de guingois…
On va remplacer ces deux portes par celles-ci, en inversant le sens d’ouverture de l’une d’elles.
The motion picture
Notre stratégie n’est pas encore arrêtée (fumier, compost, bac, pas bac, où…) alors improvisation pour se débarrasser des algues envahissantes avant les prochaines pluies (parce que mouillées… elles ont un « léger » fumet, et on ne tient pas à les laisser pourrir sur la pelouse).
Parce que le jean pour l’entretien d’un étang, même avec des bottes en caoutchouc… ce n’est pas le top.
Oh yeah baby ! On passe à un autre échelon là. Et comme le ridicule ne tue pas, on fera une vidéo avec le bonhomme dedans…
Le plan était de refaire la déco des deux petites pièces du bas pour faire chambre + bureau, et ainsi par permutation circulaire commencer à vider et ranger les cartons.
À l’origine, la moquette bordeaux… ce n’était pas trop notre goût.
On a donc attaqué le sol sans remords. Mais là… méchantes traces d’humidité au sol et dans le bas de certains murs (derrière un coffrage notamment, qui avait littéralement emprisonné l’humidité) !
Les travaux de déco, se sont donc transformés en travaux de réhabilitation avec découpage du bas de toutes les cloisons placo (tant qu’à faire on va faire ça bien et pas juste patcher les coins visibles), retrait de tous les revêtements de sol et séchage.
C’est sûr, c’est tout de suite moins glamour :
Suite du programme : masticage des dalles, puis étanchéité des sols à l’époxy. Ensuite on refera les bas de cloison avec coupure de capillarité entre les plaques, le sol et les murs bruts. On en a aussi profité pour virer le revêtement mural du bureau (toile de verre tissée), comme ça on repartira sur des murs lisses et de la peinture.
Ce n’est pas le tout d’avoir un râteau aquatique pour nettoyer les bords, encore faut-il s’attaquer au reste de l’étang.
Une barque, une fourche en plastique et un week-end, donnent de bons résultats.
Avant
Après
MAIS… il reste toutes les mauvaises herbes submergées… sortie en barque et en Weed Razer le week-end prochain. Bateau bancal + lames de rasoir géantes, what could go wrong ?
On avait un dilemme avec la factrice. Ça fait maintenant un mois qu’on la voit régulièrement, et elle nous amène très gentiment le courrier à notre boîte. Bon, normal vous me direz… ben… pas sûr en fait, car la boîte est là : (OK, ça parait normal devant le portail).
Mais le portail est à 250 m au bout de ce chemin :
Ce qui l’oblige, quand le portail est fermé, à se taper 250 m en marche arrière avec virage… Alors on s’est dit que ce serait plutôt à nous de faire l’effort d’aller jusqu’à la boîte aux lettres, et donc rapprocher celle-ci de la route.
Pour cela, rien de plus simple, il faut une boîte aux lettres (duh !), un poteau, du béton et quelques outils :
Un peu d’huile de coude aussi :
Et surtout… savoir s’adapter à son environnement :
Après quoi on a un joli trou :
Qu’il suffit de remplir avec du béton, et accessoirement un poteau…
Ça nous fait plaisir, Mme la factrice, par contre… les chiens vont faire la gueule, ils n’auront plus leur séance d’aboiements quotidiens…
Parce que vivre à la campagne, ça veut aussi dire apprendre du nouveau vocabulaire.
On a reçu deux outils pas banals, je vous partage les tests.
Le Weed Raker, ou râteau aquatique pour ramasser les végétaux qui flottent en surface, et le Weed Razer Pro, pour couper les plantes aquatiques.
Bon, ben… y a plus qu’à… 4 000 m² mon homme…