Les escaliers ce n’est pas bon du tout pour les chiots, surtout à répétition plusieurs fois par jour.
Alors pour Sherlock, on a fait une rampe à chien…
Si vous pensiez que bricoler avec des chevaux curieux était une épreuve… essayez avec un chiot !
Une première nuit sans incident. Un Jekyll au pied sur le canapé, un Skerlock… un peu partout. Dans son panier au pied du canapé, sur sa serviette, sur le carrelage, dans le panier de Jekyll.
Pause pipi à 2h, 4h et 7h, tous en extérieur. Et un caca à 7h.
Bref, déjà propre (même s’il ne tient pas encore une nuit complète sans sortir).
Jekyll grogne encore un peu, mais Sherlock lui passe désormais entre les jambes, et commence à jouer avec sa queue (ça ça mérite un grognement, c’est vrai…)
Mon péché mignon, là où on l’on trouve l’indispensable compagnon de tout repas : le Pain !
On ne met pas plus longtemps du moment que l’on y va en voiture. (La dépendance à la voiture est établie… à la campagne, c’est comme ça).
Évidemment, le paysage n’est pas tout à fait le même… et encore, là vous n’avez pas vu les faisans qui sont souvent au bord de la route, ou la buse qui les toise en se moquant un peu.
MAIS CE N’EST PAS LE TRAJET LE PROBLÈME… c’est la qualité… Nous avions en Essonne un boulanger hors pair. Son pain, ses viennoiseries et ses pâtisseries étaient d’une excellente qualité. Il expérimentait avec des farines, des ferments, toujours des pains spéciaux… bref… une perle.
Là… il y a deux boulangeries côte à côte, les deux sont juste… ignobles ! On a essayé un peu tous les pains… rien à faire. Quant aux pâtisseries, c’est simple : ce sont celles d’Intermarché sorties de leurs barquettes en plastique et mises en vitrine.
On a fait tous les boulangers du coin, et force est de constater que nous étions TRÈS chanceux à Vigneux… On a fini par trouver trois adresses avec du bon pain, mais respectivement à 9,3 / 9,5 / 16,9 km…
Sherlock pèse 6,66 kg à son arrivée à la maison, preuve que derrière cette petite tête d’ange se cache un DÉMON !
Pas de soucis avec Jekyll. Sherlock est curieux, mais fatigue vite, donc il a juste découvert le jardin et le tour de l’étang. L’aventure commence…
On avait un vrai portail en porte-à-faux. Partiellement parce que son poteau était rongé à la base par les insectes et l’humidité, et partiellement parce qu’un gros cul de cheval que la décence m’interdit de nommer a décidé de prendre CE poteau comme grattoir !
Cherchez pas, on a plus de 350 poteaux sur le domaine, dont un poteau EDF en béton que nous avons équipé d’un immense tapis de caoutchouc à pointes… mais nooon… c’est le poteau malade qui bouge qui est le plus amusant pour se gratter !
Bref, il était temps de le changer…
Dans la continuité de la liberté surveillée des chiens, pose d’un portillon derrière la grange et rallonge de clôture pour pouvoir grillager le tout.
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