Parce que… OUI, il y avait un coq où nous vivions… en pleine ville…
AVANT
Quartier pavillonnaire, éclairage public, et forcément un pauvre coq complètement déboussolé qui chantait à toute heure.
APRÈS
Au moins trois coqs nous entourent. On a rencontré les deux de notre voisin, et il y en a au moins un soit chez l’autre voisin (à qui nous n’avons pas encore rendu visite), soit encore plus loin.
Ironie donc, puisque les 3 coqs sont plus discrets que celui d’avant… Moralité, les coqs c’est bien fait pour vivre à la campagne, dans un vrai poulailler et avec des maîtres qui s’occupent d’eux !