Ce n’est pas la raison qui nous a fait partir, mais c’est bien l’une des nombreuses raisons qui ont penché dans la balance… aucuns regrets !
AVANT
Au coin de la rue c’était ambiance kikou dans son habitat naturel. Il n’y a aucun montage, vous allez voir en 2 minutes un condensé caricatural avec le tag, les brailleurs, les mobylettes, le traine savate et le respect de la gente féminine. Pas de bol, j’ai loupé le début avec le gamin de 8 ans sans casque et à califourchon sur le guidon… bien évidemment tout ceci se passe en pleine crise sanitaire, après le couvre-feu, et à contre sens… la totale je vous dis…
APRÈS
Maintenant c’est plutôt ambiance coucou. Cet oiseau a certes un point commun avec le kikou des banlieues (que je vous laisse trouver par vous-même, sinon on va dire que je suis méchant), mais sa compagnie est bien plus agréable… Il vous écoute, et quand vous lui dite de partir, il le fait, ce qui tente à prouver que cet oiseau a plus de QI QI que le kikou d’asphalte.